Rubrique santé : Furoncles et abcès

Un furoncle ou un abcès est une inflammation qui forme un amas de pus sous la peau. Quelquefois cela est causé par une piqûre, une plaie ou une injection faite avec une aiguille sale. Un furoncle est douloureux et la peau qui l’entoure devient rouge et chaude. Il peut causer un gonflement des nœuds lymphatiques et de la fièvre.

Traitement

  • Appliquer sur le furoncle des compresses chaudes à plusieurs reprises, chaque jour.
  • Laisser le furoncle s’ouvrir tout seul. Continuer l’application de compresses chaudes lorsque le furoncle est ouvert. Laisser le pus couler sans presser ni serrer le furoncle, étant donné que cela peut propager l’infection partout dans le corps.

L’usage de compresses chaudes

  1. Faire bouillir de l’eau et refroidir jusqu’à ce que l’on puisse y tenir le doigt.
  2. Plier un tissu propre un peu plus large que la surface de la région à traiter, mouiller le tissu dans l’eau chaude (tiède), et presser un peu pour laisser couler l’excès d’eau.
  3.  Placer alors le tissu sur la région infectée.
  4. Couvrir ensuite le tissu avec un morceau de plastique ou de cellophane.
  5. Utiliser une serviette pour recouvrir le tout afin de maintenir la chaleur.
  6. Laisser la partie infectée tendue.
  7. Retremper le tissu dans l’eau chaude lorsqu’il commence à refroidir, puis recommencer le procédé.

David WERNER, « Where There Is No Doctor », p. 202, 195
(Dans Vol. 1, No. 4)

Tremblements de terre – Un signe ?

Un tremblement de terre à San Francisco, aux États-Unis, a provoqué en 1989 beaucoup de dégâts matériels. Il a également provoqué de la discussion religieuse.

En effet, quand les tremblements de terre et les famines se produisent dans divers endroits, certains hommes les interprètent immédiatement comme des signes de « la fin ». Ce sont pour eux des preuves que la fin est proche et que le Christ reviendra bientôt pour établir son règne de mille ans à Jérusalem.

En Matthieu 24.1-35, Jésus donna plusieurs signes par lesquels ses disciples et les chrétiens juifs pourraient reconnaître le temps de la destruction de Jérusalem en 70 apr. J.-C. Ces phénomènes (les guerres et les bruits de guerres – verset 6 ; les famines et les tremblements de terre – verset 7 ; les faux prophètes – verset 11 ; l’Évangile prêché dans le monde entier – verset 14 ; l’approche des armées romaines – verset 15 et Luc 21.20), serviraient de signes pour avertir les fidèles de « la fin » (versets 6,14) de l’État juif. Jésus donna ces détails en répondant à la question des disciples relative à la destruction du temple (versets 2,3). Tout comme les branches tendres et les nouvelles feuilles signalent l’approche de l’été (verset 32), de même les divers signes indiqués par Jésus serviraient de signal de « la venue » de Jésus pour punir la nation juive (verset 33) en 70 apr. J.-C.

Mais ensuite Jésus passe à la question de son deuxième avènement au verset 36. Notez le contraste frappant ! Maintenant Jésus se donne de la peine pour souligner l’absence totale de signes avant-coureurs de la fin du monde et de son deuxième avènement. Il déclare que son retour sera, comme le déluge aux temps de Noé, complètement inattendu (verset 37). Jusqu’au jour même où Noé et sa famille entrèrent dans l’arche, la vie continuait comme d’habitude. Pas de signes ! Jésus dit que les cultivateurs seront dans leurs champs, comme d’habitude (verset 40). Les femmes seront occupées par leurs travaux habituels (verset 41). Jésus compare la nature inattendue de son retour aux activités du voleur (verset 43). Et Paul (1 Thessaloniciens 5.2) et Pierre (2 Pierre 3.10) répètent cette comparaison. Comme la venue d’un voleur dans la nuit n’est précédée d’absolument aucun signe, de même la venue finale de Jésus ne sera précédée d’absolument aucun signe.

Contrairement aux idées communes de nos jours au sujet des « signes des temps », la Bible affirme qu’il y aura une absence totale de signes pour préparer le monde avant la fin des temps. Le seul espoir du monde, c’est de prendre garde maintenant aux avertissements de la révélation écrite. « C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le fils de l’homme viendra à l’heure ou vous n’y penserez pas […] Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! » (Matthieu 24.44-46).

Dave MILLER
(Dans Vol. 1, No. 4)

Dieu pardonne

Quand on apprend que l’on a transgressé la volonté de Dieu et que le péché entraîne la séparation d’avec Dieu, quelle joie de savoir que DIEU PARDONNE !

Oui, Dieu pardonne, mais comme pour toutes les bénédictions de Dieu, son pardon est conditionnel. On doit se soumettre à la volonté de Dieu afin d’obtenir son pardon (Hébreux 5.9). L’homme ne peut pas formuler ses propres conditions de salut (Romains 10.1-3). Dieu est l’offensé ; c’est donc à lui de fixer les conditions de pardon. Il a ordonné que :

1. Si une personne croit en lui et en son Fils Jésus-Christ (Hébreux 11.6; Jean 3.16), et

2. Si celui qui croit se repent de ses péchés (Actes 17.30), ce qui veut dire une transformation de la volonté et de la conduite, pour les rendre conformes à la volonté et à la Parole de Dieu, et

3. Si cette personne confesse Jésus-Christ comme le Fils de Dieu, le Seigneur et le Souverain de sa vie (Actes 8.37; Romains 10.10), et

4. Si cette personne se fait baptiser dans l’eau (par immersion), au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit (Matthieu 28.18,19), pour la rémission de ses péchés, elle sera sauvée (Actes 2.38).

Les quatre actes d’obéissance cités ci-dessus sont indispensables au salut. Chacun d’eux fait avancer le pécheur sur la voie du pardon, mais ses péchés ne sont pas effacés avant le « lavement » par le baptême (Actes 22.16). Ce n’est pas l’eau elle-même qui sauve du péché, mais le sang de Christ (Apocalypse 1.5), à condition d’être enseveli avec lui dans la conformité à sa mort (Romains 6.3-5).

Quand une personne croit en ce que dit l’Évangile, se repent de ses péchés, confesse publiquement sa foi, et se fait baptiser pour le pardon de ses péchés, le salut lui est accordé (Marc 16.15,16). Et au même moment, le Seigneur l’ajoute à son Église (Actes 2.47).

(Dans Vol. 1, No. 4)

La magie (première partie)

La magie, la sorcellerie, l’occulte… Ces mots évoquent des images de pratiques secrètes, de « médicaments » et gris-gris, d’incantations et mauvais sorts. L’homme a toujours recherché des solutions aux problèmes de la vie dans la magie. Il cherche à savoir ce qui se passera dans l’avenir au moyen de la divination. Il essaie de communiquer à l’aide de médiums avec les esprits des amis et parents morts. Partout et depuis toujours des hommes ont pratiqué la magie.

Exemples bibliques

On trouve de nombreux exemples de la magie en étudiant la Bible. (À travers cet article le mot « magie » est employé pour englober tous les arts magiques : la sorcellerie, le spiritisme, les activités des féticheurs ou marabouts, etc.)

Le premier exemple clair se trouve en Genèse 41.8 où il est dit que Pharaon fit appeler tous les magiciens et tous les sages de l’Égypte afin qu’ils expliquent ses rêves. Ceci était une pratique courante aux temps bibliques. Les rois, les empereurs et les chefs politiques avaient leurs propres magiciens dont le travail était de les aider dans les décisions importantes en prédisant l’avenir. Ces magiciens avaient aussi les fonctions d’interpréter les rêves du roi, de lui en expliquer le sens et de maudire ou lancer des mauvais sorts aux ennemis du roi pour qu’il soit vainqueur en cas de guerre.

Un autre exemple se trouve en Exode 7. Les Écritures disent que Moïse et Aaron se présentèrent devant Pharaon, roi d’Égypte, pour demander qu’il libère les Israélites de l’esclavage. Afin de prouver qu’ils venaient au nom de l’Éternel, « Aaron jeta sa verge devant Pharaon et devant ses serviteurs ; et elle devint un serpent » (Exode 7.10). Le verset suivant dit : « Mais pharaon appela des sages et des enchanteurs ; et les magiciens d’Égypte, eux aussi, firent autant par leurs enchantements. Ils jetèrent tous leurs verges et elles devinrent des serpents » (Exode 7.11,12). Plusieurs fois des choses pareilles se produisirent. Par la puissance de Dieu, Moïse et Aaron changèrent l’eau du fleuve Nil en sang. « Mais les magiciens d’Égypte en firent autant par leurs enchantements » (Exode 7.22). Sept jours plus tard, Dieu fit envahir tout le pays d’Égypte par des centaines de milliers de grenouilles. Mais encore « les magiciens en firent autant par leurs enchantements. Ils firent monter les grenouilles sur le pays d’Égypte » (Exode 8.3).

Un autre exemple biblique qui démontre la pratique de la magie se trouve en 1 Samuel 28.3-15. Suite à la mort du prophète Samuel, tout le peuple d’Israël mena grand deuil. Samuel avait été respecté et aimé de tous les Israélites, et sa mort laissa un grand vide dans leur vie. Dans ces mêmes jours les Philistins recommencèrent à faire la guerre contre la nation d’Israël. Voyant l’immense armée philistine rangée contre lui, le roi Saül eut peur. La Bible dit qu’un violent tremblement s’empara de son cœur. Tous ses efforts d’obtenir de l’aide de l’Éternel par les prophètes de Dieu échouèrent. Alors Saül dit à ses serviteurs de lui chercher une femme qui évoque les morts. On l’informa qu’il y avait une telle femme à un endroit appelé En-Dor. Ce soir-là Saül alla donc la voir et dit à la femme de lui faire monter Samuel.

Cet événement eut lieu des centaines d’années avant la naissance du Christ et témoigne que la magie a été pratiquée durant toutes les périodes de l’histoire humaine.

Comme dans certaines régions du monde aujourd’hui, les gens d’autrefois examinaient des parties du corps d’un animal (le cœur, le foie, les intestins, etc.) afin de prédire l’avenir ou les aider à prendre une décision. Ézéchiel 21.26 en donne un exemple : « Car le roi de Babylone se tient au carrefour, à l’entrée des deux chemins, pour tirer des présages : il secoue les flèches, il interroge les théraphim, il examine le foie. »

Ce n’est pas seulement dans l’Ancien Testament que nous lisons des activités des magiciens ; dans le Nouveau Testament aussi nous voyons des exemples de leurs œuvres.

En Actes 8 on trouve un magicien nommé Simon, qui, « se donnant pour un personnage important, exerçait la magie et provoquait l’étonnement du peuple de la Samarie. Tous, depuis le plus petit jusqu’au plus grand […] l’écoutaient attentivement parce qu’il les avait longtemps étonnés par ses actes de magie » (vs. 9-11). Il y a également, en Actes 13, le récit d’un magicien juif appelé Élymas que Paul et Barnabas ont rencontré lors d’un voyage missionnaire.

L’attitude de Dieu à l’égard de la magie

À ce point il faut nous poser une question. Quelle est l’attitude de Dieu à l’égard de la magie ? Ceux qui pratiquent la magie lui plaisent-il ? Est-ce que cela lui est égal si les hommes se donnent aux arts magiques ? La magie est-elle un péché ? Pour trouver les réponses à ces questions, nous devons nous tourner vers la Parole de Dieu, la Bible, où Dieu lui-même a parlé.

Selon les déclarations nettes de l’Écriture, ceux qui pratiquent la magie et la sorcellerie ne sont point agréables devant le Seigneur. Ces choses n’ont jamais fait partie de sa volonté pour l’homme et n’y feront jamais partie. Ceux qui participent à la magie se rebellent ouvertement contre Dieu. Leur pouvoir vient, non pas de Dieu, mais de Satan, le prince des ténèbres. À plusieurs reprises dans la Bible, dans l’Ancien Testament comme dans le Nouveau, Dieu condamne ceux qui pratiquent la magie et la sorcellerie. Regardez les exemples suivants.

Passages de l’Ancien Testament qui défendent la magie

Exode 22.18. « Tu ne laisseras point vivre la magicienne. »

Lévitique 19.26b-31. « Vous n’observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer des pronostics. Ne vous tournerez point vers ceux qui évoquent les esprits, ni vers les devins ; ne les recherchez point, de peur de vous souiller avec eux. Je suis l’Éternel votre Dieu. »

Lévitique 20.6,27. « Si quelqu’un s’adresse aux morts et aux esprits, pour se prostituer après eux, je tournerai ma face contre cet homme, je le retrancherai du milieu de son peuple […] si un homme ou une femme ont en eux l’esprit d’un mort ou un esprit de divination, ils seront punis de mort. On les lapidera ; leur sang retombera sur eux. »

Deutéronome 18.9-14. « Lorsque tu seras entré dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne, tu n’apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là. Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Éternel ; et c’est à cause de ces abominations que l’Éternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. Tu seras entièrement à l’Éternel, ton Dieu. Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins ; mais à toi, l’Éternel, ton Dieu, ne le permet pas. »

Tous les passages ci-dessus montrent clairement quels sont les sentiments de Dieu en ce qui concerne la magie et ceux qui s’y participent. Dieu commanda aux Israélites, son peuple élu en ce temps-là, d’être purs. Pour satisfaire à l’exigence de pureté que Dieu imposait, son peuple devait s’abstenir de la magie dans toutes ses formes. La brève déclaration d’Exode 22.18 résume de manière simple et nette l’attitude de Dieu envers ceux qui pratiquent la magie ; ils sont à retrancher du peuple ; ils ne doivent pas être laissés en vie.

Les textes en Lévitique 19 et 20 nous disent que la magie souille ou rend impurs ses pratiquants. Une telle personne n’est pas acceptable à Dieu. Elle s’est vendue au diable et s’est séparée de la grâce de Dieu. Les magiciens, qu’ils s’en rendent compte ou pas, servent Satan. C’est Satan et non Dieu qui donne au magicien son pouvoir. Le peuple de Dieu ne peut pas tolérer de telles actions. Dieu ne permet pas à son peuple d’adorer ou de servir un autre que lui. « Tu n’auras point d’autres dieux devant ma face » (Deutéronome 5.7).

Un exemple de la punition

Un exemple d’une personne qui fut « retranchée » du peuple de Dieu à cause de son péché se trouve en 1 Chroniques 10.13,14. Nous avons déjà vu en 1 Samuel que Saül, le premier roi d’Israël, consulta une femme qui évoquait les morts afin d’apprendre ce qu’il devait faire. À cause de ce péché la Bible dit que « Saül mourut, parce qu’il se rendit coupable d’infidélité envers l’Éternel, dont il n’observa point la parole, et parce qu’il interrogea et consulta ceux qui évoquent les morts. Il ne consulta point l’Éternel ; aussi l’Éternel le fit mourir, et transféra la royauté à David, fils d’Isaï ».

Saül savait que Dieu ne voulait pas que son peuple consulte ceux qui évoquent les morts ou les esprits. Il savait que Dieu condamne la pratique de sa désobéissance ; il fut puni. Cette histoire devrait nous servir d’exemple.

Passages du Nouveau Testament qui défendent la magie

Galates 5.19-21. « Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront pas le royaume de Dieu. »

Apocalypse 21.8. « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. »

Apocalypse 22.14,15. « Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville ! Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! »

Notez bien que dans le Nouveau Testament, la magie (c.-à-d. la sorcellerie, les arts magiques, etc.) est groupée ensemble avec d’autres péchés tels que l’immoralité sexuelle, l’ivresse, le mensonge et le meurtre. Paul insiste sur le fait que ceux qui font ces choses n’hériteront pas le royaume de Dieu. Dieu ne ferme pas les yeux à nos péchés. Il exige que nous vivions selon ses lois. Apocalypse 21.8 va même plus loin : ceux qui pratiquent la magie ne seront pas seulement exclus du royaume des cieux ; ils se trouveront en enfer, le lieu de tourment, décrit ici comme « l’étang ardent de feu et de soufre ».

Les sentiments de Dieu à l’égard de la magie sont déclarés dans sa Parole, la Bible. Il ne laisse pas de place pour le doute. Il n’a jamais permis à son peuple de participer à la magie, de quelque manière que ce soit. La magie, c’est la rébellion contre Dieu et la désobéissance à ses commandements.

Alan HENDERSON
(Dans Vol. 1, No. 4)


Voir aussi La magie (deuxième partie).

Rubrique santé : Quand ne faut-il pas prendre de médicaments ?

Beaucoup de gens pensent qu’ils ne doivent pas faire certaines choses ou manger certains aliments lorsqu’ils prennent des médicaments. Pour cette raison, ils cessent parfois de prendre des médicaments dont ils ont besoin. En réalité, nul médicament ne cause de mal pour la simple raison qu’il est pris accompagné de certains aliments, que ce soit du porc, du piment, de la goyave, de l’orange ou n’importe quel aliment. Mais, les aliments graisseux ou les épices peuvent causer des problèmes à l’estomac ou des complications intestinales avec ou sans médicaments. Certains médicaments peuvent causer une mauvaise réaction lorsque l’on boit de l’alcool. Dans certains cas, il est préférable de ne pas utiliser des médicaments.

  1. Les femmes enceintes ou celles qui allaitent doivent éviter les médicaments qui ne sont pas absolument nécessaires. (Toutefois, elles peuvent prendre sans aucun danger des pilules contenant de la vitamine ou du fer.)
  2. Avec les nouveau-nés, faites très attention en leur donnant les médicaments. Si possible, il est préférable de consulter un médecin avant de leur donner n’importe quel médicament. Prenez soin de ne pas faire de surdosage.
  3. Toute personne ayant une réaction allergique – urticaires, démangeaison – après avoir pris de la pénicilline, un sulfamide ou quelques autres médicaments, NE DEVRA PLUS EN FAIRE USAGE LE RESTE DE SA VIE, car cela serait très dangereux.
  4. Les personnes souffrant d’ulcère ou de la dyspepsie doivent éviter les médicaments contenant de l’aspirine.
  5. Il y a un type de médicaments qui est dangereux à prendre lorsque l’on souffre de certaines maladies. Par exemple, les personnes souffrant d’hépatite ne doivent pas être traitées avec des antibiotiques ou tout autre médicament puissant, car leur foie est en mauvais état ; par conséquent, les médicaments risquent d’empoisonner tout le corps.
  6. Les personnes qui souffrent de déshydratation ou d’insuffisance rénale doivent être spécialement prudentes quant aux médicaments qu’elles prennent. Il ne faut pas donner plus d’une dose d’un médicament pouvant empoisonner le corps à moins que (ou jusqu’à ce que) la personne concernée urine normalement. Par exemple, si un enfant a une forte fièvre et souffre de déshydratation, il ne faudrait pas lui donner plus d’une dose d’aspirine jusqu’à ce qu’il commence à uriner. Ne donnez jamais de sulfamide à une personne déshydratée.

David Werner, Là où il n’y a pas de docteur, Page 93, 94
(Dans Vol. 1, No. 3)

Comment devenir enfant de Dieu

L’apôtre Jean écrit en 1 Jean 3.2 : « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu… »

Comment devient-on enfant de Dieu ? Jean nous l’explique dans son évangile. Il dit, en parlant de la lumière qui est venue dans le monde, c’est-à-dire Jésus : « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom et qui sont nés… de Dieu » (Jean 1.12,13). Ce n’est pas par le simple fait de recevoir Jésus, de croire en son nom, que l’on devient enfant de Dieu. Mais celui qui croit en lui a « le pouvoir » (la possibilité, le moyen) de devenir enfant de Dieu, en étant né de Dieu.

En Jean 3.3,5 Jésus explique comment naître de Dieu, comment naître de nouveau. « En vérité en vérité je te le dis, si un homme ne naît de nouveau,… Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » Cette naissance d’eau et d’Esprit s’accomplit quand le croyant pénitent est baptisé en Christ (enseveli, immergé dans l’eau). C’est en ce moment que ses péchés lui sont pardonnés et qu’il reçoit le don du Saint-Esprit (Actes 2.38). Il est alors sauvé et ajouté par le Seigneur à l’Église. « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature » (2 Cor. 5.17).

(Dans Vol. 1, No. 3)

L’ancienne alliance: est-elle toujours en vigueur

Une lecture même superficielle des Écritures nous montre clairement que l’ancienne alliance faite entre Dieu et Israël était appelée à disparaître pour faire face à une loi meilleure. Jérémie le prophète l’annonce plusieurs siècles avant Jésus-Christ, on ne peut plus nettement (Jérémie 31.31ss). Plus tard, lorsque le Christ aura accompli sa mission parmi les hommes, l’écrivain d’Hébreux consacrera la quasi totalité de sa lettre à l’explication du rapport qui existe entre l’ancienne alliance et la nouvelle inaugurée par le Christ. C’est là que nous lisons :

« Il y a ainsi abolition d’une ordonnance antérieure, à cause de son impuissance et de son inutilité, – car la loi n’a rien amené à la perfection – et introduction d’une espérance par laquelle nous nous approchons de Dieu. » (Hébreux 7.18,19)

Puis après avoir parlé du rôle de Moïse sous l’ancien régime, il déclare que Jésus « a obtenu un ministère d’autant plus supérieur qu’il est le médiateur d’une alliance plus excellente, qui a été établie sur de meilleures promesses. En effet, si la première alliance avait été sans défaut, il n’aurait pas été question de la remplacer par une seconde » (Hébreux 8.6,7).

Ce langage ne permet plus aucun doute sur cette question. Il est clair que le système de l’ancienne loi a été aboli, abrogé, et remplacé, avec le Christ, par une meilleure alliance. Il est également clair que c’est toute l’ancienne loi qui a disparu et non une partie seulement. (Nous reviendrons plus tard à cet aspect de la question.)

Pour accomplir

À ce point, quelqu’un dira peut-être : N’y a-t-il pas une contradiction frappante entre ce que nous venons de lire et ce que Jésus dit lui-même, a savoir :

« Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre jusqu’à ce que tout soit arrivé. » (Matthieu 5.17,18)

Jésus ne souligne-t-il pas ici la durabilité de la loi, jusqu’à la fin du monde ? Ce n’est pas du tout l’enseignement qu’il veut donner.

Notons encore la seconde partie de la déclaration ; elle est la clé de ce texte : « Il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre jusqu’à ce que tout soit arrivé. » (Certaines traductions disent : « jusqu’à ce que tout soit accompli ».) Jésus déclare ici qu’il est venu réaliser tout ce qui est dit de lui dans l’Écriture et que rien ne pourra l’empêcher de le faire. Car tout l’Ancien Testament est comme une chrysalide qui attend de s’ouvrir pour laisser sortir le papillon accompli. C’est ainsi que nous rencontrons souvent dans les pages des Évangiles cette expression significative : afin que s’accomplisse ce qui avait été dit par le prophète. Voyez Matthieu 2.15,17,23; 4.14; 8.17; 13.14,35; 21.4; 26.56; 27.9; 27.35; Jean 12.38; 13.18, etc.

Les derniers mots du crucifié

Vers la fin de son ministère terrestre, après sa résurrection, il déclare à ses disciples émerveillés

« C’est là ce que je disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes et dans les psaumes. Alors, il leur ouvrit l’esprit afin qu’ils comprennent les Écritures. Et il leur dit : Ainsi il est écrit que le Christ souffrirait, et qu’il ressusciterait des morts le troisième jour, et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations. » (Luc 24.44-47)

La loi ne devait pas disparaître « jusqu’à ce que tout soit réalisé ». Or, tout était maintenant accompli. Ce sont les derniers mots du crucifié (Jean 19.30).

Le voile du temple se déchira

À la lumière de ces textes, nous pouvons mieux comprend pourquoi le voile du temple se déchira depuis le haut jusqu’en bas tandis qu’expirait le réalisateur de la loi. Nous pouvons mieux saisir toute la portée de ces mots de Paul : « Christ est la fin de la loi » (Rom. 10.4). « Vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre… Nous avons été dégagés de la loi » (Romains 7.4,6).

Une autre question s’éclaire également ; sous l’ancienne loi, avant la venue du Christ, il y avait d’une part les Juifs et d’autre part les païens, c’est-à-dire tous les non Juifs. Le mur de séparation était la loi, accordée aux Juifs, et inconnue des païens. Mais à présent, en Jésus-Christ, il n’y a plus de différence, car Juifs comme païens sont également appelés à former un seul peuple par la foi en Christ. Paul explique comment cela a été réalisé :

« Il est notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un, et qui a renversé le mur de séparation, l’inimitié, […] afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau. » (Éphésiens 2.14,15)

Un pédagogue

En disant que la loi a été comme un pédagogue pour nous amener à Christ, les Écritures expliquent clairement que la loi a eu un rôle temporaire, et que ce rôle est accompli. (Un pédagogue est une sorte de précepteur, un tuteur, responsable de la formation d’un élève jusqu’à son émancipation.) Le texte ajoute :

« La foi étant venue [c’est-à-dire l’Évangile par le Christ], nous ne sommes plus sous ce pédagogue. Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ ; vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » (Galates 3.25-28)

Une seule loi

À ce point, il faut signaler, sinon dénoncer, une théorie tout à fait erronée en ce qui concerne la loi de l’Ancien Testament. Comme de trop nombreux textes déclarent sans confusion possible que la loi ancienne a été abolie, on a imaginé qu’il y a dans l’Ancien Testament deux sortes de loi : la loi cérémoniale, de caractère temporaire, abolie effectivement par le Christ ; et la loi morale, qui dure à jamais. On ajoute à cela que la première est appelée « la loi de Moïse » et que les Écritures désignent la seconde par l’expression « la loi de Dieu ».

Il est vrai que l’Ancien Testament comprend plusieurs sortes de lois. Il y a des lois morales, des lois cérémoniales, des lois civiles, etc. Mais il est à noter qu’elles s’entremêlent au point de rendre toute distinction presque impossible ; et cela tout simplement parce que la loi est une et indivisible. Que ce soit un rite cérémonial, que ce soit un acte social, tout était réglé par Dieu dans la loi donnée par Moïse. Le langage biblique ne connaît pas de distinction entre loi morale et loi cérémoniale. Lorsque Jésus dit qu’il est venu accomplir la loi, il parle de la loi en entier, la loi dans sa totalité, de tout le système mosaïque. Quand Jésus dit qu’il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre jusqu’à ce que tout soit arrivé, il parle de toute la loi, voire de tout l’Ancien Testament. Les termes employés dans la Bible pour indiquer les divisions de l’Ancien Testament sont : la loi, les psaumes et les prophètes ; ou simplement : la loi et les prophètes (Matthieu 7.12; Luc 16.16; Luc 24.44; Actes 24.14). Ces expressions désignaient l’ensemble de la loi. Mais parler de loi morale et de loi cérémoniale pour donner à l’une un caractère passager et à l’autre un caractère éternel serait se servir d’un langage et de conceptions étrangers à la Bible. Nous devons nous garder de donner au vocabulaire biblique un sens qu’il n’avait pas dans l’esprit de ses auteurs.

Établissons donc bien ce fait dans nos esprits : lorsque Jésus, un apôtre, ou n’importe quel auteur biblique parle de la loi de Moïse, qu’il s’agisse de l’obéissance à cette loi ou de son abrogation, c’est de toute la loi qu’il parle.

Quant à la distinction que l’on fait entre loi de Dieu et loi de Moïse, le texte biblique ne l’autorise pas davantage. Voyez les textes suivants : Néhémie 8.18; 10.29; Esdras 7.6; 2 Chroniques 34.14, où la Bible parle tantôt de « la loi de Dieu donnée par Moïse » tantôt de « la loi de Moïse donnée par Dieu », et souvent dans le même contexte.

Les commandements : un résume

On insiste souvent sur le fait que la loi des dix commandements est une loi immuable. D’abord parce que c’est la « loi morale » ( !), ensuite parce que c’est Dieu lui-même qui l’a gravée dans la pierre. Cela n’est-il pas significatif ?

Lorsque Moïse descendit de la montagne, il tenait dans ses bras les tables de la loi. Elles étaient la preuve que Dieu lui avait parlé, que ces commandements étaient de Dieu lui-même, d’autant plus que son visage resplendissait d’un éclat insoutenable. C’est pourquoi ces tables sont appelées « le témoignage » (Exode 16.34; 25.16; 27.21; etc.) Mais ces tables n’étaient que le résumé de la loi donnée à Israël. Elles ne constituaient pas un recueil de la loi à part, destiné à survivre au reste des préceptes. Car, nous l’avons vu, la loi était toute la loi.

On insiste beaucoup dans certains groupes sur le caractère éternel des dix commandements, car ils renferment la loi du sabbat. C’est la seule vraie raison pour laquelle on tient tellement à ces tables de la loi.

Parler des tables de la loi, c’est évoquer toute la loi dont elles étaient le symbole. Ainsi, lorsque l’apôtre Paul parle du remplacement de la loi ancienne par la loi supérieure du Christ, il fait précisément intervenir les dix commandements dans son explication, et il en parle comme d’un ministère de mort et de condamnation par contraste avec le ministère de l’Esprit (c’est-à-dire l’Évangile du Christ). Voici ce qu’il écrit :

« Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire soit passagère, combien le ministère de l’esprit ne sera-t-il pas plus glorieux !… Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l’a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux. » (2 Corinthiens 3.7-11)

Richard ANDREJEWSKI
(Dans Vol. 1, No. 3)

L’apocryphe

Pourquoi la Bible « de l’Église catholique » renferme-t-elle 73 livres tandis que la Bible « protestante » n’en contient que 66 ? Pourtant, le mouvement protestant est sorti du catholicisme. Ces livres additionnels, sont-ils inspirés ou pas ?

La Bible « catholique » contient certains livres appelés « deutérocanoniques », ce qui suggère qu’ils furent admis en dernier lieu dans la liste officielle de livres bibliques ; d’autres les appellent « apocryphes », un mot qui désigne ce qui est non authentique, suspect, ou douteux. Il y a eu beaucoup de discussion au sujet de ces livres au cours de l’histoire, mais pour plusieurs raisons on ne leur attribuait pas l’autorité des autres livres dont l’inspiration n’était pas contestée.

D’abord, les Juifs, de qui nous avons reçu les livres de l’Ancien Testament, ont exclu ces livres apocryphes de leurs Écritures dès le premier siècle de notre ère. Deuxièmement, Jésus et les apôtres, ainsi que les autres auteurs du Nouveau Testament, n’ont cité aucun de ces livres, tandis que le Nouveau Testament tire des citations (260 fois) ou fait des références (370 fois) à presque tous les livres de l’Ancien Testament. Troisièmement, aucun des auteurs de ces livres apocryphes ne prétend être inspiré, et quelques-uns disent franchement qu’il ne le sont pas. Ces livres ne furent reconnus officiellement par l’Église catholique qu’en 1546 au Concile de Trente, donc, après que la division s’était déclarée entre protestants et catholiques. Au début du protestantisme, même l’Église catholique n’avait pas encore décidé en faveur de ces livres « douteux ». Vu le manque de preuves en faveur de ces livres, on dirait que l’Église catholique devait garder sa première position du scepticisme à leur égard.

B. B.
(Dans Vol. 1, No. 3)

Est-il possible de comprendre la Bible?

Beaucoup de personnes affirment que la Bible est si mystérieuse qu’elle ne peut même pas être comprise, sauf par certains individus. On pense que ce sont seulement les représentants officiels d’une Église « infaillible » qui ont le droit de l’interpréter. Cette attitude a fait que pendant des siècles, la Bible était réservée pour les prêtres seuls. Tout le monde a maintenant accès à la Bible, mais les simples fidèles sont conseillés d’accepter sans question les explications qui leur sont données par l’Église.

La Bible, pourtant, ne s’adresse pas à une petite minorité d’hommes. L’Évangile de Jean fut écrit pour que les gens croient en Jésus. « Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en son nom » (Jean 20.31). Les épîtres ne sont, elles non plus, destinées aux seuls dirigeants des assemblées. Paul adressa sa première épître aux Corinthiens « à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints, et à tous ceux qui invoquent en quelque lieu que ce soit le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre » (1 Cor. 1.2). Voir aussi Rom. 1.1,7; 2 Cor. 1.1; Col. 1.1,2; etc.

La Bible loue les Juifs de la ville de Bérée parce qu’ils « examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu’on leur disait était exact » (Actes 17.11). La Bible est compréhensible et peut donc nous permettre d’évaluer et contrôler les enseignements que nous recevons. En fin de compte, tout homme n’a pas seulement le droit, mais le devoir de connaître la Parole de Dieu.

B. B.
(Dans Vol. 1, No. 3)

Rubrique santé : Le tabac

Pour de nombreuses raisons, il est dangereux pour la santé des fumeurs et de leurs familles que de fumer de la cigarette.

  1. Fumer augmente le risque du cancer des poumons et des lèvres. (Plus on fume, plus on risque de mourir de cancer.)
  2. Fumer cause d’autres maladies graves au niveau des poumons, telles que la bronchite chronique et l’emphysème pulmonaire. (Il est mortel de fumer pour des personnes ayant déjà ces maladies ou l’asthme.)
  3. Fumer peut contribuer à la formation d’ulcères d’estomac ou les aggraver.
  4. Les enfants dont les parents fument sont atteints de pneumonie et d’autres maladies respiratoires plus souvent que les enfants des non-fumeurs.
  5. Fumer augmente le risque de subir (ou même de mourir de) la maladie de cœur ou une crise cardiaque.
  6. Les bébés des femmes qui fument durant la grossesse sont plus petits et se développent plus lentement que ceux des femmes qui ne fument pas.

Tous ces risques associés au tabac s’appliquent en quelque mesure, non seulement aux fumeurs eux-mêmes, mais aussi aux non-fumeurs qui sont obligés de respirer continuellement l’air contaminé par la fumée de cigarette, c’est-à-dire, surtout les membres de leur famille et les collègues de travail.

David Werner, Where There Is No Doctor
(Dans Vol. 1, No. 2)